Chronologie de Paris

Présentation chronologique, par date, d'évènements historiques de la ville de Paris la capitale de la France.

Vieux Paris devant la tour Eiffel à l'exposition universelle de 1900.
Les limites de Paris depuis le IVe siècle.

Préhistoire

La rue des Pirogues-de-Bercy, lieu où ont été découvertes des pirogues du néolithique.
  • 40000 av. J.-C. Attestation de présence humaine sur le site de Paris.
  • 4200 av. J.-C. Attestation d’habitation permanente à Paris. Lors de fouilles en 1991 à Bercy, mise au jour de plusieurs pirogues en chêne, un arc et des outils, entre autres.

Antiquité

  • Entre 100 et 200.
  • Vers 250.
    • Martyre du premier évêque de Lutèce, saint Denis. Ce dernier fut l’un des sept évêques envoyés en Gaule pour l’évangéliser. Les succès enregistrés provoquèrent la haine des païens qui le firent décapiter sur la colline de Montmartre. La légende précise que saint Denis prit alors sa tête dans ses mains ; c’est la représentation la plus classique du futur saint patron de la France.
  • 275 ou 276.
    • Saccage probable par des envahisseurs germains de la rive gauche de la cité.
  • 291-292.
  • Vers 300.
    • Lutèce devient Paris.
  • Vers 308.
    • Construction d’un rempart autour de l’île de la Cité afin de la protéger des envahisseurs germains.
  • 346.
    • Vingt jours consécutifs de pluie en mars. Inondations.
  • 350.
  • 358.
    • Février à juillet 358. Le césar Julien est présent à Paris avant de partir en campagne contre les Alamans et les Francs.
  • 359-360.
    • Julien est présent à Paris après sa campagne victorieuse. Il séjourne probablement au palais qui devait se trouver à la pointe de l'île de la Cité, sur un lieu qui a été ensuite occupé par les rois mérovingiens. L'empereur Constance II demandant le transfert de deux ses légions sur le Danube, les troupes de Julien refusent et le proclament Auguste à Paris. Il le devient à la mort de Constance II en 361. Dans son Misopogon Julien indique : « Je passai l'hiver dans ma chère ville de Lutèce, elle est située dans une petite île, ou l'on n'entre que par deux ponts de bois (le pont au Change et le petit Pont). Il y croit un excellent vin, on commence à connaitre l'art d'y élever des figuiers.... »
  • 361.
    • Concile à Paris sur l’hérésie arianiste. Cette doctrine religieuse due au prêtre Arius ne reconnaît ni la divinité du christ, ni l’autorité du pape. Elle a été condamnée au premier concile de Nicée, en 325. Ce mouvement religieux chrétien s'est diffusé auprès de certains peuples germaniques, goths et burgondes. Les invasions de ces peuples va permettre à l’arianisme de s’imposer peu à peu à travers les parties de l'Europe qu'ils occupent progressivement. Paris devient, plus que Rome elle-même, la ville la plus hostile à l'arianisme et s'attache à rester fidèle au christianisme romain, le catholicisme[3].
  • 365.
  • 366.
    • Vers juin 366. Second séjour de Valentinien Ier à Paris. On lui apporte la tête de Procope vaincu par Valens. Il y reçoit Jovin, maître de la cavalerie, qui a vaincu les Alamans.
  • 383.
  • Vers 385.
    • Passage à Paris de saint Martin qui guérit un lépreux à la porte Nord de la cité par un simple baiser et une bénédiction.
  • 397.
    • Novembre 397. « été de Saint-Martin » du 8 au 11 novembre : « les roses refleurissent ».
Sainte Geneviève
  • 451.
    • Geneviève de Paris exhorte les habitants à ne pas fuir face à l'approche des Huns d'Attila (qui se dirigera finalement vers Orléans). Ses mots restent célèbres : « Que les hommes fuient, s’ils veulent, s’ils ne sont plus capables de se battre. Nous les femmes, nous prierons Dieu tant et tant qu’Il entendra nos supplications ». Elle devient le personnage le plus en vue de la cité.
  • 464-465.
    • Blocus de Paris par le roi franc Childéric Ier, qui chasse les Romains de Paris.
  • Vers 475.
    • Construction d’une basilique à l’emplacement du tombeau de saint Denis.
  • 486.
    • Sainte Geneviève négocie avec Clovis la soumission de Paris à son autorité. Clovis vient de remporter une victoire décisive sur le romain Syagrius, mais sainte Geneviève lui interdit toute entrée à Paris. Il assiège la ville où une famine se déclare. Sainte Geneviève organise le ravitaillement, et Clovis lève le siège. Cette situation tendue entre Paris et Clovis perdure pendant dix ans. Paris est alors un îlot nicéen au milieu d’un océan dominé par l’arianisme, et sainte Geneviève ne veut pas couper définitivement les ponts avec Clovis, roi païen et pas arianiste comme tous les autres rois barbares. La défaite de Syagrius, « le dernier des Romains », marque la césure parisienne entre l'Antiquité et le Moyen Âge, ou plutôt l'Antiquité tardive.

Moyen Âge

Haut Moyen Âge

  • 494 :
    • Clovis se laisse progressivement convaincre par son entourage catholique de se convertir. Les avantages politiques apparaissent en effet évidents, car de nombreuses cités restées farouchement catholiques, comme Paris, appellent de leurs vœux un roi catholique. Premier signe de cette conversion progressive, le baptême de son fils. Hélas, ce dernier meurt peu après le sacrement, déclenchant une colère noire de Clovis qui assiège alors Paris. Sainte Geneviève organise le ravitaillement de la ville. Clovis lève le siège.
  • 496 ou 498 :
    • La conversion de Clovis au catholicisme à Reims est accueillie par la liesse à Paris qui ouvre désormais en grand ses portes aux Francs convertis. La reconquête face aux hérétiques ariens peut commencer. Clovis est en effet le seul monarque catholique en exercice ; la France hérite du surnom de « Fille aînée de l'Église ».
  • 500 ou 502
    • ou 502 : Décès de sainte Geneviève ; elle est inhumée au sommet de la « montagne » qui portera désormais son nom. Clovis y fait bâtir l'église des Saints-Apôtres, plus tard débaptisée Sainte-Geneviève. Elle devient plus tard la patronne de la ville.
  • 508 :
  • 510 :
    • Proclamation de la loi salique : Afin de se positionner en refondateur de l’état de droit, Clovis fait rédiger entre 508 et 510 le premier code de lois français. Jusqu’à la Révolution française et la rédaction du Code Napoléon, ce code législatif reste à la base de la législation en usage. L’égalité entre Francs et Gallo-romains, la liberté de mariage, et la fin de la coutume du « droit de vengeance » y sont notamment proclamées.
  • 511 :
  • 522 :
    • Crue de la Seine[4]
  • 538 :
  • Vers 540 :
  • 543 à 547 :
  • 552 :
    • Un violent incendie ravage Paris
  • 553 :
    • Deuxième concile de Paris. La déposition de Saffaracus, évêque de Paris, est confirmée. Il est condamné à la réclusion dans un monastère.
  • 555 :
  • 557 :
  • Concile de Paris (557)[5] :
  • 558 :
  • 573 :
  • 576
    • Concile de Paris (576)[8] pour juger Prétextat, évêque de Rouen, Ragnemod étant évêque de Paris[9]
  • 577 :
  • Vers 580 :
  • 582 :
    • Chilpéric convertit de force de nombreux juifs parisiens.
  • 583 :
  • 583-584 :
    • Hiver très doux. Des roses au mois de janvier !
  • 585 :
    • Grand incendie qui ravage toute l’île de la Cité. Seule la cathédrale et les bâtiments qui en dépendaient restent intactes [11]
  • 595 :
    • Clotaire Ier rend un édit par lequel il ordonne que les gens établis à Paris pour le guet de nuit, sont responsables des vols, s'ils n'arrêtent pas le voleur[11].
  • 614 :
    •  : Concile (6e concile) sur la liberté des élections épiscopales et sur la juridiction des évêques sur les clercs. Depuis 535, et le concile de Clermont, les évêques étaient déjà librement élu par les clercs et le peuple[8].
  • 628-638 :
  • 651-656 :
  • 653 :
    • Concile de Paris (653) (7e concile)
  • 654 :
    • Décès de l’évêque Landry qui aurait été le fondateur de l’Hôtel-Dieu vers 651. Contrairement aux autres institutions d’assistance qui verront le jour par la suite, l’Hôtel-Dieu reçoit tous les miséreux et les malades, sans distinction. C'est, de fait, la première institution hospitalière, concept totalement inconnu de l'Antiquité.
  • 666 :
  • 691 :
    • Saint Médéric vient habiter une cellule située près de Paris, à proximité de l'« oratoire Saint-Pierre-des-Bois », à l'endroit ou se trouve actuellement l'église Saint-Merri.
  • 719 :
  • 754 :
  • 763-764 :
    • hiver très rigoureux du au  : La mer gèle en Normandie ! La Seine gèle sur toute son épaisseur à Paris[réf. nécessaire]. Il tombe jusqu’à dix mètres de neige dans certaines régions. Oliviers et figuiers détruits. Grande famine par la suite.
  • 781 :
  • 820 :
    • Attestation de la plus ancienne rue de Paris : la rue Saint-Germain.
    • Crue de la Seine[12]
Bateau viking

XIe siècle

XIIe siècle

XIIIe siècle

XIVe siècle

  • 1302 :
  • 1303 :
    • Concile de Paris (1303)[8] : au Louvre
    • Concile de Paris (1303)[8] : un deuxième
  • 1304 :
    • Installation des changeurs sur le Grand-Pont qui prend désormais le nom de Pont au Change.
  • 1305 :
    • À la suite de travaux de réfection du Pont au Change, les changeurs peuvent exercer sur la rive attenant au Châtelet : Les changeurs, qui se contentaient jusque-là d’effectuer le change entre les diverses monnaies européennes, deviennent depuis peu des prêteurs ; on appelle ces derniers les Lombards (16 changeurs et 20 lombards en 1292).
  • 1306 :
    • Crue de la Seine[12]
    •  : Expulsion des juifs de Paris et confiscation de leurs biens.
    •  : Émeute contre la hausse des loyers. Le roi est même assiégé par la foule au Temple.
  • 1307 :
    •  : à la suite de la révolte contre la hausse des loyers, 28 émeutiers sont pendus.
    • Le Parlement de Paris devient une institution permanente qui rend la justice au nom du roi en derniers recours ; ses arrêts ne peuvent être cassés que par le Conseil du roi.
    •  : Arrestation des Templiers.
  • 1310 :
  • 1311 :
  • 1313 :
Jacques de Molay et Geoffroy de Charnay sur le bûcher
Étienne Marcel
  • 1357 :
  • 1358 :
    •  : Assassinat du trésorier du dauphin Jean Baillet par le changeur Marc Perrin qui trouve asile à l’église Saint-Merry : Le maréchal de Normandie fait enfoncer la porte de l’église et Marc Perrin est pendu dès le lendemain. Furieux de cette atteinte contre le droit d’asile, l’évêque excommunie le maréchal de Normandie et exige la restitution du corps du condamné.
    •  : Invasion du Palais de la Cité par les Parisiens en armes sous la conduite d’Étienne Marcel. Les maréchaux de Champagne et de Normandie sont massacrés, tandis que le dauphin est coiffé du chapeau rouge et bleu de Paris. Étienne Marcel rêve de doter Paris d’un statut d’autonomie.
    •  : Promesse de dauphin de respecter la grande ordonnance de mars 1357 : Quatre bourgeois de Paris entrent à son conseil, dont Étienne Marcel.
    • 4 mai : Entrée du roi de Navarre Charles II le Mauvais à Paris.
    • 14 mai : Édit du Vermandois du dauphin qui assiège Paris.
    •  : Fin de la Jacquerie des paysans du Beauvaisis qui avait l’entier soutien d’Étienne Marcel.
    •  : Tentative de sortie des Parisiens assiégés par les troupes du Dauphin. Les Parisiens sont stoppés à Bercy :
    •  : Levée du siège de Paris par le Dauphin à court d’argent.
    •  : Rixe de cabaret entre Parisiens et mercenaires anglais : une trentaine d’Anglais sont tués et plus de cinquante prisonniers.
    •  : Expédition de Parisiens en vue de chasser les mercenaires anglais présents à Saint-Cloud et Saint-Denis : Cette expédition tombe dans un guet-apens et les Parisiens sont massacrés par les Anglais.
    •  : Tentative d’Étienne Marcel pour faire ouvrir les portes de la ville aux mercenaires du roi de Navarre. Il est tué à la bastide Saint-Antoine par des partisans du Dauphin.
    •  : Entrée triomphale du dauphin, futur Charles V le Sage, à Paris. C’est la fin du rêve d’autonomie pour Paris.
    •  : Après quelques exécutions de partisans d’Étienne Marcel, une amnistie est proclamée.
  • 1360 :
  • 1360 à 1363 :
    • Épidémie de peste.
  • 1363 :
    • La paupérisation s’accentue et le nombre de mendiants errants dans les rues de Paris devient important.
  • 1364 :
    • Charles V le Sage est couronné roi de France et abandonne l’hôtel Saint-Pol dans le quartier du Marais, siège traditionnel du pouvoir, pour s’installer au Louvre qu’il fait rénover.
  • 1365 :
    • Population de Paris estimée à 275 000 habitants.
  • 1366 à 1369 :
  • 1368 :
    • Nouveau détournement de la Bièvre qui se jette désormais dans la Seine au niveau du Château de la Tournelle. La partie de la rivière restée à Paris est transformée en égout.
  • 1370 :
    • Par ordonnance royale, les églises sonnent les heures et les quarts d’heure en se conformant à l’heure marquée par l’horloge à poids et sonnerie d’Henri de Vic installé au Palais de la Cité.
    •  : Pose de la première pierre de la Bastille :
  • 1372 :
  • 1373 :
    • Crue importante de la Seine.
  • 1374 :
    • Épidémie de peste.
    • Afin de mettre un terme à l’usage du « tout à la rue », transformant les rues en véritables égouts, il est désormais obligatoire à tous les propriétaires de la ville et des faubourgs de Paris de doter leurs logements de latrines privées en nombre suffisant. Cette obligation devra être souvent renouvelée, car de nombreux propriétaires n’équipent pas leurs logements.
Salle parisienne de jeu de paume
  • 1389 :
  • 1392 :
  • 1394 :
    • Crue de la Seine[12]
  • 1395 :
  • 1397 :
    •  : Ordonnance du prévôt de Paris qui rappelle l’interdiction de la pratique du jeu de paume notamment. Les joueurs ne tiennent évidemment aucun compte de cet interdit…
    •  : Le prévôt de Paris interdit la pratique du jeu de paume tous les jours, sauf le dimanche « parce que plusieurs gens de métier et autres du petit peuple quittaient leur ouvrage et leur famille pendant les jours ouvrables, ce qui était fort préjudiciable pour le bon ordre public ». Encore une fois, les joueurs ne tiennent aucun compte de cet interdit et des parties ont lieu tous les jours, au grand désespoir des autorités municipales.
  • 1398 :
  • 1399 : crue de la Seine[4]
  • 1399 à 1401 : épidémie de peste.
  • 1400 :

XVe siècle

Plan de Paris (1422)

XVIe siècle

XVIIe siècle

En janvier 1608 la Seine gèle (tableau Patineurs sur la Seine en 1608, École française, musée Carnavalet)
Hôtel des Invalides

XVIIIe siècle

Incendie de l'Hôtel-Dieu (Genillion, musée Carnavalet).
 : Prise de la Bastille
 : prise du palais des Tuileries
 : La Mort de Marat par Jacques-Louis David (1793)
 : Bonaparte fait tirer à mitraille sur les sectionnaires, Histoire de la Révolution d'Adolphe Thiers, 1866, illustration de Yan' Dargent

XIXe siècle

Architecture haussmannienne
Affiche de la Commune de Paris
Tour Eiffel
Vue de l'accident.

XXe siècle

Libération en août 1944

XXIe siècle

Nouveau tramway parisien

Superficies successives de Paris

Superficies successives de la ville de Paris  [modifier]
Enceinte Époque Superficie
(hectares)
Enceinte gauloiseSous Jules César, -5300.009[53] ?
Île de la Cité et rives[54]Ier à IIIe siècles00.053[55]
Enceinte gallo-romaine + rives[54]Sous Julien, en 358 et 375[56]00.038,79
Enceinte carolingienneAprès Eudes, Entre 898 et 1190?
Enceinte de Philippe AugusteSous Philippe Auguste, en 1190 et 121100.252,87
Enceinte de Charles VSous Charles V et Charles VI, en 1367 et 138300.439,18
Sous François Ier et Henri II, en 1553 et 158100.483,61
Enceinte de Charles IX et Louis XIIISous Henri IV00.567,82
Sous Louis XIV, en 1671 et 168601 103,91
Sous Louis XIV et Louis XV, en 1715 et 171701 337,08[57]
Mur des Fermiers générauxSous Louis XVI, en 178803 370,36[58]
En 181703 439,68
Fortifications ThiersEn 186007 088
Périphérique + les boisEn 199010 540
Sources : Recherche statistiques sur la Ville de Paris…, 1821[59] (chiffres de Verniquet
de 358 à 1788) ; Ier à IIIe siècles, 1860 et 1990 : site de la mairie de Paris[60]

Notes et références

  1. Les deux Paris: les représentations de Paris dans la seconde moitié du XIXe siècle Par Jean-Pierre Arthur Bernard
  2. Le vaisseau de Lutèce.
  3. S. Hilaire, Fragmentum XI, n. 1-4, dans P. L., t. X, col. 710 ; Mansi, Amplissima collectio, t. III, c. 358 ; Munieh, Concilia Galliae, p. 32-34.Dans Gabriel Le Bras, Synodes et conciles parisiens, dans : Revue d'histoire de l'Église de France, t.50, n°147, 1964, pp.35-46
  4. Jean de La Tynna, Dictionnaire topographique, étymologique et historique des rues de Paris (1817).
  5. Gabriel Le Bras, op. cit.
  6. Hommes de Dieu et fonctionnaires du roi : en Gaule du Nord du Ve au IXe siècle, Presses universitaires du Septentrion, (ISBN 2859395512, lire en ligne)
  7. Augustin Thierry, Récits des temps mérovingiens, Paris, Éditions Bartillat, , p. 63.
  8. Alletz et Filsjean, op. cit.
  9. Dictionnaire historiques des auteurs ecclésiastiques, t.IV, chez la Vv Bessiat, Lyon, 1767, p.19/328.p.
  10. Grégoire de Tours Histoire des Francs
  11. Pierre Larousse, Grand dictionnaire universel du XIXe siècle volume 12
  12. Revue des Deux Mondes - 1910 - tome 56.djvu/157
  13. Dans Gabriel Le Bras, op. cit.
  14. Hefele-Leclercq, Histoire des conciles, t. IV, p. 60-72. L'importance du concile de 829 a été bien marquée par L. Halphen, Charlemagne et l'Empire carolingien (Paris, 1947), p. 263-267. Dans Gabriel Le Bras, op. cit.
  15. Le pont Charles-le-Chauve
  16. L'Île de la Cité et ses ponts , op. cit., pp. 109-112
  17. Philippe Lorentz et Dany Sandron, Atlas de Paris au Moyen Âge : espace urbain, habitat, société, religion, lieux de pouvoir, Paris, Éditions Parigramme, , 200 p. (ISBN 978-2-84096-402-5), p. 25
  18. Dictionnaire topographique, étymologique et historique des rues de Paris de Jean de La Tynna
  19. 52.Hefele-Leclercq, op. cit., t. V, p. 111. Références citées dans : Gabriel Le Bras, op. cit.
  20. Louis-François Guérin, Manuel de l'histoire des conciles..., Paris, 1846.
  21. Butte située dans le Jardin des plantes de Paris
  22. Clos de Lias également connu sous le nom de clos de Laas
  23. Histoire physique, civile et morale de Paris, Volume 1 de Jacques-Antoine Dulaure page 144
  24. Guide pittoresque de l'étranger dans Paris et ses environs, page 27, de Jules Renouard
  25. Les Travaux souterrains de Paris, volume 5, page 245 et suivantes, par Eugène Belgrand
  26. M. et Chr. Dickson, Le cardinal de Courson. Sa vie (Archives d'hist. doctrinale et littér. du moyen âge, IX, 1934), p. 61-142.
  27. Histoire de Saint-Louis par Joinville, p. 31.
  28. Le Dit des rues de Paris
  29. Journal d’un bourgeois de Paris 1405-1449
  30. « Chronologie des événements parisiens au Moyen Âge », sur parismoyenage.fr (consulté le )
  31. Jacques du Chastelier, évêque de Paris en sera victime
  32. Auguis, Les poètes français depuis le XIIe siècle jusqu'à Malherbe, t. III, p. 462-470.
  33. Henri-Louis Bayard : Mémoire sur la topographie médicale du IVe arrondissement de Paris
  34. 22 juin 1627. Les comtes Bouteville et des Chapelles sont décapités après s'être battus en duel.
  35. Henri Martin, Histoire de France, vol. 13, Paris, Furnes, (présentation en ligne)
  36. François Arago, Œuvres complètes, vol. 5, Paris, Librairie des sciences naturelles, (présentation en ligne)
  37. Encyclopédie méthodique: Agriculture, Volume 3,Partie 1 Par Alexandre Henri Tessier
  38. Mémoires de Saint-Simon, tome 17 chapitre 21 ; Maison de Horn ou Hornes
  39. Le comte de Horn, parent du Régent : roué comme un vulgaire voleur
  40. Plan de l'inondation de 1740 par Philippe Buache
  41. [1741] « Observations sur l'étendue et la hauteur de l'Inondation du mois de Décembre 1740 », Mémoires de l'Académie royale des sciences, 1741 / 1744, p. 335-337 (lire en ligne [sur gallica], consulté en )
  42. Les travaux souterrains de Paris : La Seine, page 310, par Eugène Belgrand
  43. Les bataillons de volontaires de Paris
  44. historique du 1er bataillon des volontaires de Paris
  45. La Conspiration de 1816 - Paris
  46. Les OUBLIÉS de 1816 : TRIPLE exécution
  47. Procès de la conspiration des patriotes de 1816, au nombre de vingt-huit
  48. L'emplacement de la galerie de Fer est désormais occupé par le siège central du Crédit lyonnais
  49. Obsèques du général Foy
  50. Loi sur l'extension des limites de Paris (du 16 juin 1859), dans le Bulletin des lois de l'Empire français, t. XIV, XIe série, no 738, 3 novembre 1859, p. 747–751, [lire en ligne]
  51. Décret du 3 novembre 1859 qui fixe les dénominations des vingt arrondissements municipaux de la ville de Paris, dans le Bulletin des lois [lire en ligne]
  52. « Crues : la Seine a lentement atteint son pic à Paris », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  53. Verniquet donnait le chiffre de 15,23 ha mais qui est plus qu'incertain puisque l'emplacement même de la ville gauloise fait encore l'objet de débats. La Lutèce gauloise sur le site Paris, ville antique du Ministère de la Culture parle d'un « agrégat d’îlots autour d’une île principale dont la superficie originelle n’excédait pas 9 hectares » tout en précisant que la localisation de la Lutèce Gauloise, mentionnée pour la 1re fois par Jules César en -53 n'est pas certaine. Le site de la Mairie de Paris indique quant à lui 2 ha pour « l'île de la cité des Parisii (56 av. J.C.). » Sans compter les interrogations soulevées par la découverte de vestiges d'une importante ville gauloise sur le site de Nanterre (voir Lutèce, ville fantôme, Le Monde, 25.07.2009).
  54. Voir la reconstitution 3D de la ville du Bas-empire et celle de la ville du Haut-Empire sur le site Paris, ville antique du Ministère de la Culture. La ville était plus étendue à l'époque du Bas-Empire (-27-235) et connut une régression urbaine au Haut-Empire (235-476) avec une concentration sur l'île de la cité fortifiée.
  55. Le site de la Mairie de Paris donne 53 ha pour la « Lutèce Gallo-romaine (Ier à IIIe siècles) ».
  56. Quid 1998, page 807, colonne a, éditions Robert Laffont.
  57. Le site de la Mairie de Paris donne 11 709 ha sous Louis XV.
  58. Le site de la Mairie de Paris donne 3 441 ha.
  59. Recherches statistiques sur la Ville de Paris et le département de la Seine, année 1821, tableau no 7.
  60. Superficie de Paris dans Historique et évolution sur le site de la mairie de Paris.

Pour approfondir

Bibliographie

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

  • Préfecture du département de la Seine et comte Chabrol de Volvic (dir.), Recherches statistiques sur la ville de Paris et le département de la Seine : année 1821, Paris, Imprimerie royale, , 2e éd. (lire en ligne), « Tableau n°7 ». Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article, [compte rendu en ligne].
  • Alfred Fierro, Histoire et dictionnaire de Paris, p. 537 à 658. Document utilisé pour la rédaction de l’article

Articles connexes

Lien externe

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