Antiquité romaine en musique
| Années en musique classique : -103 - -102 - -101 - -100 - -99 - -98 - -97 | |
| Décennies en musique classique : -130 - -120 - -110 - -100 - -90 - -80 - -70 |
Événements
La Rome païenne
- IIe siècle av. J.-C. : influence de la musique hellénistique au fur et à mesure de la domination romaine en Orient
- IIe siècle : l’Hymne à Némésis, l’Hymne à la Muse et l’Hymne à Helios (attribuées à Mésomède de Crète), datés de 130 ap. J.-C., sont conservés dans plusieurs manuscrits byzantins[1].
- Catulle (87-54 av. J.-C.)
- Horace (65-8 av. J.-C.)
- Claude Ptolémée d'Alexandrie (90-168) : Harmoniques, traité de musicologie.
L'Église primitive
L'Église primitive bannit les instruments de musique des offices liturgiques : vers 200, Clément d'Alexandrie dénonce la présence d’instruments de musique pour soutenir la voix dans la musique chrétienne[2].
- Saint Ambroise (340-397), selon la tradition à l'origine des Hymnes et du chant ambrosien.
- Saint-Augustin (354-430) : De Musica, n'accepte la musique que sous sa forme mathématique.
- IVe siècle : Codex vaticanus
Notes et références
- Céline Moretti-Maqua, L'apogée du masque au XVIIIe siècle ou La Sérénissime masquée, Paris, Éditions L'Harmattan, , 162 p. (ISBN 978-2-296-04444-9, BNF 41186533, présentation en ligne)
- Edmond de Pressensé, Histoire des trois premiers siècles de l'église chrétienne, C. Meyrueis et Cie., (présentation en ligne)
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