Théodore Le Hars
Théodore Le Hars est un homme politique français né le à Quimper (Finistère) et décédé le à Scrignac (Finistère) dans un accident d'automobile[1].
| Jules Fortin | |
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| Fonctions | |
|---|---|
| Sénateur français | |
| – (8 ans, 8 mois et 21 jours) | |
| Élection | 9 janvier 1921 | 
| Circonscription | Finistère | 
| Maire de Quimper | |
| – (8 ans) | |
| Prédécesseur | Henri Jacquelin | 
| Successeur | Édouard Ménez | 
| – (8 ans) | |
| Prédécesseur | Adolphe Porquier | 
| Successeur | Henri Jacquelin | 
| Conseiller général du Finistère | |
| – (42 ans) | |
| Circonscription | Canton de Ploudalmézeau | 
| Prédécesseur | Bénoni Guillard | 
| Successeur | Amédée Le Meur | 
| Biographie | |
| Date de naissance | |
| Lieu de naissance | Quimper | 
| Date de décès | (à 67 ans) | 
| Lieu de décès | Scrignac | 
| Résidence | Finistère | 
Biographie
    
Conseiller municipal de Quimper en 1891, maire de 1904 à 1912 et de 1920 à 1928, conseiller général en 1918, il a été sénateur du Finistère de 1920 à 1928.
Il fut chef d'escadron pendant la Première Guerre mondiale[2].
Il habitait le manoir de Lesmadec en Peumerit.
« Anticlérical bourgeois, le nom de Théodore Le Hars reste lié à la construction du théâtre, de l'asile de vieillards, du bureau de bienfaisance, du pont de Juniville ainsi qu'au mémorial des enfants de Quimper morts pour la France mais aussi à la fermeture des écoles congréganistes et à la confiscation des couvents »[3].
Notes et références
    
- Journal Ouest-Éclair no 9839 du 3 octobre 1928, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6124656.r=B%C3%A9nodet.langFR
- « LE HARS Théodore », sur senat.fr (consulté le ).
- Alain de Sigoyer, journal Le Télégramme, 10 décembre 2000.
Sources
    
- « Théodore Le Hars », dans le Dictionnaire des parlementaires français (1889-1940), sous la direction de Jean Jolly, PUF, 1960
Liens externes
    
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