Saint-Maximin (Oise)

Saint-Maximin est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Saint-Maximin
Saint-Maximin (Oise)
La mairie, rue Jean-Jaurès.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Senlis
Intercommunalité Communauté d'agglomération Creil Sud Oise
Maire
Mandat
Serge Macudzinski
2020-2026
Code postal 60740
Code commune 60589
Démographie
Gentilé Saint-Maximinois
Population
municipale
2 941 hab. (2021 en diminution de 5,71 % par rapport à 2015)
Densité 239 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 13′ 19″ nord, 2° 26′ 51″ est
Altitude Min. 25 m
Max. 125 m
Superficie 12,33 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Creil
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Chantilly
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Saint-Maximin
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Saint-Maximin
Géolocalisation sur la carte : Oise
Voir sur la carte topographique de l'Oise
Saint-Maximin
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Saint-Maximin
Liens
Site web saintmaximin.eu/

    Géographie

    La commune de Saint-Maximin est située entre Chantilly au sud et Creil au nord. La forêt de Chantilly et plus précisément sa partie appelée bois de la Coharde occupe 173 ha soit 14 % du territoire communal.

    Climat

    En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Sud-ouest du bassin Parisien » et « Nord-est du bassin Parisien »[4].

    Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 675 mm, avec 10,6 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Creil à km à vol d'oiseau[5], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 662,2 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

    Statistiques 1991-2020 et records CREIL (60) - alt : 88m, lat : 49°15'07"N, lon : 2°31'14"E
    Records établis sur la période du 01-08-1954 au 31-07-2021
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 1,4 1,2 3,1 4,9 8,4 11,4 13,4 13,2 10,3 7,8 4,3 1,9 6,8
    Température moyenne (°C) 4,1 4,6 7,5 10,3 13,7 16,9 19,2 19 15,6 11,9 7,4 4,5 11,2
    Température maximale moyenne (°C) 6,8 8 12 15,6 19 22,4 24,9 24,8 20,9 15,9 10,5 7,2 15,7
    Record de froid (°C)
    date du record
    −21,6
    17.01.1985
    −18,5
    14.02.1956
    −11,4
    08.03.1971
    −5,3
    06.04.21
    −2,6
    03.05.1981
    0,7
    01.06.1975
    3,5
    01.07.1960
    3,2
    01.08.1965
    −0,6
    17.09.1971
    −5
    28.10.03
    −11,3
    24.11.1998
    −16,7
    31.12.1970
    −21,6
    1985
    Record de chaleur (°C)
    date du record
    15,9
    27.01.03
    21,4
    28.02.1960
    25,4
    31.03.21
    28
    20.04.18
    31,7
    07.05.1976
    36,4
    27.06.11
    41,6
    25.07.19
    39,3
    09.08.20
    35,3
    15.09.20
    28,3
    01.10.11
    20,7
    08.11.15
    16,9
    07.12.00
    41,6
    2019
    Ensoleillement (h) 492 867 1 417 2 008 erreur soleil-mai n'est pas un nombre (-) 2 169 erreur soleil-jul n'est pas un nombre (-) 217 1 806 1 184 674 614 erreur soleil-ann n'est pas un nombre (-)
    Précipitations (mm) 56,2 47,1 48,2 45,2 60 56 56 57,6 45 61,1 59,2 70,6 662,2
    Source : « Fiche 60175001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Maximin est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Creil, une agglomération intra-départementale regroupant 23 communes[12] et 123 989 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[13],[14].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[15],[16].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (54,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (54,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (54,5 %), mines, décharges et chantiers (13 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (11,8 %), terres arables (9,1 %), zones urbanisées (6,4 %), zones agricoles hétérogènes (2,7 %), eaux continentales[Note 3] (2,5 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    Voies de communication et transports

    La commune est desservie, en 2023, par les lignes A, D et E du réseau urbain AXO. La desserte est complétée par les services de transport à la demande AXO+3 et AXO+4. Elle est également desservie par les lignes 634, 637, 647, 649, 6231, 6234, 6235 et 6245 du réseau interurbain de l'Oise[18].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Sanctus Maximinus (828) ; « in Belvacensi pago villa que dicitur Sanctum Maximinum cum ecclesia » (836) ; Frotmundus de Sancto Maximino (vers 1107) ; in parrochia Sancti Maximini (vers 1150) ; Saint Mesmin (vers 1210) ; de sancto Maximino (1224) ; Saint Mesmyn (1518) ; Maximin (1794) ; Maximum[19] (1794) ; Saint-Maximin (1840)[20].

    Saint-Maximin et un hagiotoponyme issu de l'oïl saint et Maximinus, qui était devenu Mesmin ; Maximin est une restitution savante[21].

    Histoire

    Des carrières de Saint-Maximin, l'on extrait la roche calcaire à bâtir du même nom. Aujourd'hui, il reste encore cinq carrières de pierre de taille en exploitation à Saint-Maximin. La pierre qui en est extraite sert essentiellement à la restauration des monuments historiques et est également massivement exportée aux États-Unis et en Asie. Concurrencés par le béton, les professionnels de la pierre lui ont trouvé d’autres utilisations (ornementation ou parements par exemple) afin d’en faire un matériau contemporain et accessible au plus grand nombre.

    Les carrières de Saint-Maximin fournissent également la terre battue utilisée pour les terrains de tennis de Roland-Garros : il s'agit d'une couche de calcaire d'environ huit centimètres qui est fournie depuis la création du stade en 1928[22].

    Politique et administration

    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1800 1812 Claude Leblanc    
    1813 1815 Jacques Bonnard    
    1816   Pierre Sicair Troupeaux    
    1819 1861 Jean-Baptiste Delavier    
    1867 1870 Louis-Joseph Dacheux    
    1878 1879 Charles-Honoré Feuillette    
    1882   Félix Civet    
    1884 1887 Jacques-Alexandre Leblanc    
    1890   Félix Cinot    
    1892 1896 Jacques-Alexandre Leblanc    
    1902 1919 Eugène Hurdebourcq    
    1921   Amédée Deregnaucourt    
    1942   René Daubin    
    1945 mai 1953 Léon Boufflet PC-SFIO  
    mai 1953 mars 1977 Georges Guyot PCF  
    mars 1977 1979 Henri Bruyère PCF  
    1979 en cours Serge Macudzinski PCF Réélu pour le mandat 2014-2020[23]

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[25].

    En 2021, la commune comptait 2 941 habitants[Note 4], en diminution de 5,71 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    778769730704876857907917910
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    8699521 2681 1301 2931 4941 4771 3541 297
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 2651 3221 2931 2691 2941 3251 2258231 518
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    1 6641 8012 1002 1742 3772 3992 5022 5193 099
    2018 2021 - - - - - - -
    2 8722 941-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[26].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 38,8 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,1 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 1 378 hommes pour 1 494 femmes, soit un taux de 52,02 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,11 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[27]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4 
    90 ou +
    0,3 
    3,6 
    75-89 ans
    6,1 
    14,7 
    60-74 ans
    15,2 
    19,6 
    45-59 ans
    20,8 
    21,4 
    30-44 ans
    20,2 
    17,6 
    15-29 ans
    17,2 
    22,8 
    0-14 ans
    20,2 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2020 en pourcentage[28]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90 ou +
    1,3 
    5,4 
    75-89 ans
    7,5 
    15,4 
    60-74 ans
    16 
    20,8 
    45-59 ans
    20 
    19,4 
    30-44 ans
    19,4 
    17,8 
    15-29 ans
    16,4 
    20,7 
    0-14 ans
    19,3 

    Économie

    Sur une partie de la commune est installée une vaste zone commerciale, avec notamment un hypermarché. Cette zone commerciale s'agrandit et de nouveaux magasins s'installent. La zone d'activité de Saint-Maximin est maintenant une des plus grandes de France. Elle constitue une part importante du budget de la commune. Au début des années 2000, la taxe professionnelle sur les surfaces commerciales rapportait 65% des apports budgétaires de la commune[29].

    Lieux et monuments

    Monument historique

    Église Saint-Maximin.

    Saint-Maximin ne compte qu'un seul monument historique sur son territoire.

    • Église Saint-Maximin, rue des Fontaines et rue du Jeu-d'Arc (inscrite monument historique par arrêté du [30]) : Irrégulièrement orientée sud-est - nord-ouest, l'église se compose d'un porche devant le portail occidental ; d'une nef de quatre travées, communiquant par ses quatre grandes arcades du sud avec un unique bas-côté portant bien son nom, ainsi qu'avec la première des trois chapelles du sud ; d'une chapelle identique succédant à cette dernière suivie par une troisième plus grande ; d'une ancienne croisée du transept servant de base au clocher de la fin du XIe siècle ; d'un chœur au chevet plat d'une seule travée ; et d'une chapelle latérale nord du chœur. Les trois chapelles du sud forment à l'intérieur un vaisseau assez homogène de trois travées. La seconde chapelle remplace le croisillon sud, et la troisième chapelle du sud sert comme son homologue du nord de chapelle latérale au chœur. Ces trois travées forment ensemble le chevet avec un pignon au centre, et elles évoquent un chœur-halle, mais en réalité, elles ne communiquent à l'intérieur que par deux étroites arcades brisées non décorées. La nef est simplement plafonnée, l'ancienne croisée du transept est voûtée d'arêtes, et les autres travées sont voûtées d'ogives. Les origines de l'église actuelle remontent à la fin du XIe siècle, et en restent le portail occidental et le clocher, mais ce dernier a été lourdement modifié : les fenêtres du premier étage ont été bouchées, le toit en bâtière a été remplacé par une petite flèche en pierre vers 1150, et les baies gémelées du second étage ont été remplacées par une baie unique par face au XVe siècle. Le chœur est de style gothique et peut être daté des années 1170 ; il remplace le chœur roman. Les chapelles ont été rajoutées après des délais assez importants : la chapelle latérale sud vers 1300 ; la chapelle latérale nord vers 1400 ; et les deux premières chapelles du sud au cours du XVe siècle. Tout comme les deux chapelles latérales préexistantes, ces chapelles supplémentaires sont recouvertes par des toits en bâtière individuels, ce qui donne une succession de trois pignons au sud. Bien qu'un siècle et demi séparent les chapelles, la cohérence de l'ensemble est frappante. L'intérieur de l'église et notamment la base du clocher et la nef ont perdu une grande partie de leur authenticité pendant des restaurations trop radicales au XIXe siècle. Du XIe siècle, ne subsiste un tailloir décoré de triangles gravés sur le pilier sud-ouest du clocher. La sculpture des chapiteaux du chœur montre une influence par le chantier de la cathédrale Notre-Dame de Senlis, comme pour de nombreuses autres églises de la région[31].

    Autres éléments du patrimoine

    • Trou du Tropique, impasse du Tropique : Ancien carrefour entre plusieurs carrières souterraines et à l'air libre, à faible profondeur, dont une partie du plafond s'est effondré, ouvrant ainsi la vue sur le ciel. Cette curiosité était longtemps la principale attraction du village et le GR 11 la traversait, mais le trou du Tropique a dû être interdit d'accès pour des raisons de sécurité[32].
    • Maison de la Pierre du sud de l'Oise, 22 rue Jean-Jaurès : Centre d'information et de documentation sur les carrières de Saint-Maximin et des environs et sur l'utilisation de la pierre, ayant comme mission la sauvegarde et la mise en valeur du patrimoine de la pierre dans le sud du département[33].
    • Château Civet, ancienne demeure de la famille Civet, propriétaire et exploitant des carrières, construit en 1870[34]. Le domaine du château abrite l'ITEP Solange-Cassel, institut psycho-pédagogique. L'institut a été créé en 1934[35].
    • Château de Laversine, en écart au nord du village, près de la RD 162 : l'actuel château a été construit par Alfred-Philibert Aldrophe (1834-1895), architecte de la ville de Paris. Il est bâti en pierre tirée des carrières de Saint-Maximin, qui appartiennent aussi au baron Gustave de Rothschild, sur le bord du plateau, avant la paroi rocheuse, face à l'ample paysage de la vallée de l'Oise. Le style est très librement inspiré de François Mansart. Devant l'entrée, sont placés deux groupes animaliers en marbre sculptés par Georges Gardet. La baronne et ses trois filles reçoivent beaucoup à Paris, à l'hôtel de l'avenue de Marigny, comme à Laversine, pendant que le baron et ses deux frères dirigent ensemble la banque de la rue Laffitte. Robert de Rothschild hérite du domaine en 1912 et accueille les soldats blessés convalescents pendant la Grande Guerre. Entre les deux guerres, le domaine est surtout réservé aux chasses à courre auxquelles sont conviés parents et amis de la famille de Rothschild. Siège du commandement allemand des unités chargées de la construction des V1 dans les carrières voisines de 1940 à 1944, le château abrite ensuite des unités américaines en 1944 / 1945. Mis à sac à la Libération et délaissé, il est remis à une fondation à la mort de Robert de Rothschild en 1949 à charge d'héberger et de former les enfants orphelins de la Shoah. Collège d'enseignement professionnel, puis lycée d'enseignement professionnel et enfin lycée professionnel, il est depuis les lois de décentralisation, propriété du conseil régional de Picardie et abrite le LP « Donation de Rothschild »[36],[37].

    Culture

    Il existe un Musée des bombardements, consacré aux bombardements subis par la commune en 1944[38].

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

    Cartes

    1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

    Références

    1. « Communes limitrophes de Saint-Maximin (Oise) » sur Géoportail..
    2. « Communes limitrophes de Saint-Maximin (Oise) » sur Géoportail..
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
    5. « Orthodromie entre Saint-Maximin et Creil », sur fr.distance.to (consulté le ).
    6. « Station Météo-France « Creil » (commune de Creil) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    7. « Station Météo-France « Creil » (commune de Creil) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
    9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    12. « Unité urbaine 2020 de Creil », sur insee.fr (consulté le ).
    13. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
    14. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
    18. « Transports en commun à Saint-Maximin », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
    19. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    20. Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l’Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 421.
    21. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : Formations dialectales (suite) et françaises, Genève, Droz, , p. 1564.
    22. Pourquoi la terre-battue de Roland-Garros est ocre, Sport24
    23. « Saint-Maximin », Cartes de France (consulté le ).
    24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
    27. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Maximin (60589) », (consulté le ).
    28. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
    29. « Le pays ou la vie est hypers », sur Liberation.fr, (consulté le ).
    30. « Église Saint-Maximin », notice no PA00114869, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    31. Dominique Vermand, Églises de l'Oise : Cantons de Chantilly et Senlis, Beauvais, Conseil général de l'Oise, avec le concours des communes des cantons de Chantilly et Senlis, , 54 p., p. 31.
    32. « Trois sites remarquables à Saint Maximin »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?), sur Saint-Maximin (site officiel) (consulté le ).
    33. « La Maison de la pierre du sud de l'Oise »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?), sur Saint-Maximin (site officiel) (consulté le ).
    34. Clarisse Lorieux & Isabelle Barbedor, « Ancienne demeure d'industriel, dite Château Civet, à Saint-Maximin », sur inventaire.hautsdefrance.fr (consulté le ).
    35. ASSOCIATION DE SAINT MAXIMIN ( ITEP Solange CASSEL ), « ASSOCIATION DE SAINT MAXIMIN ( ITEP Solange CASSEL ) », sur institut-psycho-pedagogique-ipp.fr (consulté le ).
    36. Philippe Seydoux, Châteaux et gentilhommières des Pays de l'Oise : Tome II. Valois, Paris, Éditions de la Morande, s.d., 356 p. (ISBN 978-2-9020-9139-3), p. 20-23.
    37. « Lycée professionnel « Donation Robert & Nelly de Rothschild » » (consulté le ).
    38. « Musée des bombardements » (consulté le ).
    39. Dely Renaud, « Les rosses de Picardie », Libération, (lire en ligne).
    • icône décorative Portail de l’Oise
    • icône décorative Portail des communes de France
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons – Attribution – Partage à l’identique. Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.