Rue André-Barsacq
La rue André-Barsacq est une voie du 18e arrondissement de Paris, en France.
|  18e arrt Rue André-Barsacq     | |||
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| Situation | |||
|---|---|---|---|
| Arrondissement | 18e | ||
| Quartier | Clignancourt | ||
| Début | 3, rue Foyatier | ||
| Fin | 6, rue Drevet | ||
| Morphologie | |||
| Longueur | 140 m | ||
| Largeur | 10 m | ||
| Historique | |||
| Dénomination | 1978 | ||
| Ancien nom | Ancienne partie de la rue Berthe | ||
| Géocodification | |||
| Ville de Paris | 0300 | ||
| DGI | 0316 | ||
| Géolocalisation sur la carte : Paris 
 Géolocalisation sur la carte : 18e arrondissement de Paris 
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|  Images sur Wikimedia Commons | |||
Situation et accès
    
La rue André-Barsacq est une voie publique située dans le 18e arrondissement de Paris. Elle débute par un escalier au 3, rue Foyatier, face au square Louise-Michel (anciennement square Willette) et se termine au 6, rue Drevet.
Origine du nom
    

André Barsacq en 1930.
Elle porte le nom d'André Barsacq (1909-1973), décorateur, metteur en scène et directeur du Théâtre français, mort en 1973, et qui habitait au no 2 de la rue Berthe.
Historique
    
Ancienne partie de la rue Berthe[1], elle est classée dans la voirie parisienne, entre les rues Chappe et Drevet, par un décret du avant de prendre sa dénomination actuelle par un arrêté municipal du .
Bâtiments remarquables et lieux de mémoire
    
- Voie comprise en partie dans le site du vieux Montmartre.
- L'écrivain Stéphane Barsacq habite l'appartement où son grand-père le dramaturge André, puis son père le sculpteur Goudji, ont vécu. L'aïeul y recevait des personnalités comme Eugène Ionesco et Marcel Aymé[2].
Annexes
    
    Articles connexes
    
Liens externes
    
- Rue André-Barsacq (mairie de Paris)
Références
    
- Jacques Hillairet, Dictionnaire historique des rues de Paris, Paris, Les Éditions de minuit, 1972, 1985, 1991, 1997, etc. (1re éd. 1960), 1 476 p., 2 vol. [détail des éditions] (ISBN 2-7073-1054-9, OCLC 466966117), supp., p. 12.
- Jean-René Van der Plaetsen, « Stéphane Barsacq, moraliste pour temps perdus », Le Figaro Magazine, 24 décembre 2020, p. 28.
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