Quirino Armellini
Biographie
    
Quirino Armellini participe à la Guerre d'Éthiopie, sous le commandement Pietro Badoglio puis nommé commandant de la PAI (Polizia dell'Africa Italiana (it)) [1].
En 1942, il est en Dalmatie en tant que commandant du XVIIIe Corps d’Armée [2].
Après le , le roi Victor-Emmanuel III le nomme commandant de la Milice volontaire pour la sécurité nationale qu'il dissout en intégrant ses composants dans l'Armée régulière.
De janvier à , lors de l'arrestation de Giuseppe Cordero Lanza di Montezemolo il assume le rôle de chef du Fronte militare clandestino de la Résistance romaine, remplacé par la suite par Roberto Bencivenga.
Après la Seconde Guerre mondiale, il est président du Conseil supérieur des Forces armées italiennes [3]
Voir aussi
    
    Bibliographie
    
- Friedrich Andrae, La Wehrmacht in Italia, ed. Riuniti
- Ugo Finetti, La resistenza cancellata, Ares 2003
- Giorgio Pisanò, Storia della Guerra Civile in Italia, CED, 1964, thome I
- Mario Avagliano, Gabriele Le Moli, Muoio innocente. Lettere di caduti della Resistenza a Roma, Mursia, 1999
- Mario Avagliano, Roma alla macchia. Personaggi e vicende della Resistenza, Avagliano Editore, 1997
- Alessandro Portelli, L'ordine è già stato eseguito, Donzelli, 1999
- Pierangelo Maurizio, Via Rasella, cinquant'anni di menzogne, Maurizio Edizioni, Rome, 1996 (II ed.)
Articles connexes
    
Liens externes
    
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Notes et références
    
- (it) « Quirino Armellini », sur Google.books
- (it) Talpo Oddone, Dalmazia Una cronaca per la storia 1942, Ufficio Storico Stato Maggiore dell’Esercito, , p. 1428
- (it) « Quirino Armellini », sur Treccani.it
Source de la traduction
    
- (it) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en italien intitulé « Quirino Armellini » (voir la liste des auteurs).
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