Oui à l'amour, non à la guerre

Oui à l'amour, non à la guerre[1] (titre original : Frau Wirtin hat auch einen Grafen, littéralement « Madame Wirtin a aussi un comte ») est un film de coproduction allemande, autrichienne, hongroise et italienne réalisé par Franz Antel, sorti en 1968.

Synopsis

Europe centrale, au début du XIXe siècle. Susanne Delberg, la propriétaire du Lahn, est au moment des campagnes de conquête napoléonienne avec sa troupe d'acteurs sur le chemin en Allemagne du Sud de son auberge vers l'Italie, afin de sauver de la misère existentielle et amoureuse le comte de Lucca. Sur le chemin, elle et ses filles ont lors de leurs étapes dans les châteaux comme dans les camps napoléoniens des histoires érotiques et des confessions sur l'oreiller.

Susanne résiste à de nombreux hommes trop intrusifs avec une épée extrêmement courbée. Bientôt, elle rencontre le comte, qui conquiert d'abord son cœur, puis son lit. Mais lui aussi est menacé par des ennemis et doit être sauvé. Enfin, Susanne et ses dames se lancent dans un complot contre Napoléon Bonaparte lui-même, que la propriétaire du Lahn rencontre également sur le chemin du sud. Elle révèle cette conspiration contre l'empereur, qui aime s'enrouler autour du doigt de la belle aubergiste.

Fiche technique

Distribution

Production

Oui à l'amour, non à la guerre est la suite de Mieux vaut faire l'amour (1967) dans une série qui comprendra d'autres films :

Notes et références

Source de la traduction

Voir aussi

Liens externes

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