Manipulations (film, 2000)
Manipulations ou, au Québec, La Candidate (The Contender) est un film américain réalisé par Rod Lurie en 2000.
Synopsis
Après le décès du vice-président, le président démocrate Jackson Evans porte son choix sur une femme, la sénatrice Laine Hanson. Mais d'aucuns s'opposent à ce choix, et vont salir la réputation de cette femme. Les événements de sa vie passée vont ressurgir et amener l'Amérique à se poser des questions... Une fille qui s'est prostituée peut-elle être fiable dans le gouvernement ? Une femme adultère peut-elle accéder aux plus hautes autorités d'un pays ? Les enquêtes et les séances devant les feux des sénateurs et des médias se succèdent...
Fiche technique
- Titre : Manipulations
- Titre original : The Contender
- Titre québécois : La Candidate
- Scénario : Rod Lurie
- Musique : Larry Groupé
- Photographie : Denis Maloney
- Montage : Michael Jablow
- Durée : 126 minutes
- Producteurs : Stephanie Antosca, Willi Bär, Rainer Bienger, James Spies, Douglas Urbanski, Marc Frydman, Maurice Leblond, Steve Loglisci, Gary Oldman, Scott Shiffman
- Sociétés de production : DreamWorks Pictures, Battleplan Productions, Cinecontender, Cinerenta Medienbeteiligungs KG & SE8 Group
- Distribution : TVA International et Universal Studios Home Video Canada
- Budget : 20 000 000 $[1]
- Langue : Anglais
- Pays :
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Royaume-Uni - Format : Couleurs (Technicolor) - 1,85:1 - Son Dolby / Dolby Digital / SDDS - 35 mm
- Genre : Thriller
- Dates de sortie :
- ,
Canada - , États-Unis
- , Royaume-Uni
- ,
France
- ,
Distribution
- Gary Oldman (VF : Guy Chapellier) : Républicain Sheldon Runyon, Président de la commission d'investiture
- Joan Allen (VF : Véronique Augereau) : Sénatrice Laine Hanson, nommée à la vice-présidence
- Jeff Bridges (VF : Patrick Floersheim) : Président Jackson Evans
- Christian Slater (VF : Thierry Wermuth) : Républicain Reginald Webster
- Sam Elliott (VF : Bernard Tixier) : Kermit Newman
- William L. Petersen (VF : Julien Thomast) : Gouverneur Jack Hathaway
- Saul Rubinek : Jerry Tolliver
- Philip Baker Hall (VF : Marc de Georgi) : Oscar Billings
- Mike Binder (VF : Philippe Dumont) : Lewis Hollis
- Robin Thomas (VF : Jean Barney) : William Hanson
- Mariel Hemingway : Cynthia Charlton Lee
- Kathryn Morris (VF : Claire Guyot) : agent spécial FBI Paige Willomina
- Kristen Shaw : Fiona Hathaway
- Douglas Urbanski : Makerowitz
- Noah Fryrear : Timmy
- Heather Rosbeck : Elaine Bidwell
- Genia Morgan : flirt de Webster
- Angelica Torn : Dierdra
- Irene Ziegler (VF : Régine Teyssot) : Maggie Runyon
- Sandra Register : Glenda
- Catherine Shaffner : Patricia Lavemeer (Patty)
- Liz Marks : Sheila
- Kevin Geer (VF : Patrick Béthune) : Congressman Skakle
- Larry King : Lui-même
Du film à la série
Rod Lurie, le créateur de Manipulations allait s’inspirer du film qui traité le rapport entre les femmes et le pouvoir pour écrire sa série Commander in Chief. Il y montre la première femme... Présidente des États-Unis[2].
Distinctions
- nommé aux Oscars de 2001 de la meilleure actrice pour Joan Allen et du meilleur second rôle pour Jeff Bridges.
- Primé aux Broadcast Film Critics Association Awards du Alan J. Pakula Award 2001 en faveur de : Rod Lurie (scénariste); Gary Oldman; Joan Allen ; Jeff Bridges ; Christian Slater ; Sam Elliott ; William L. Petersen ; Saul Rubinek ; Philip Baker Hall ; Mike Binder ; Robin Thomas ; Mariel Hemingway. Le motif invoqué For artistic excellence by illuminating issues of great social and political importance (Pour la qualité de la prestation en illustrant une question socio-politique importante).
Notes et références
- Box Office Mojo, consulté le 14 février 2009.
- « 'Anecdotes Commander in Chief ; Du film à la série », sur Allociné fr
Liens externes
- Ressources relatives à l'audiovisuel :
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