Louise Bovie
Biographie
    
Louise Bovie a publié un petit roman, La Perdrix, sous le pseudonyme de Marie Sweerts. Elle a également écrit de la poésie et a contribué à la revue littéraire mensuelle Revue de Belgique, où elle a reçu des éloges comme ayant « un esprit distingué »[1].
Bovie est la sœur aînée du peintre et mécène Virginie Bovie, avec qui elle a fait une tournée en Italie en 1855[2]. Aucune des deux sœurs ne s'est jamais mariée, et Louise a finalement emménagé dans la maison de Virginie, rue du Trône à Ixelles (banlieue de Bruxelles), et elles y ont vécu ensemble pendant de nombreuses années. Une troisième sœur, Hortense, s'est mariée mais fut bientôt veuve. Louise Bovie est décédée à Ixelles et est enterrée à Dilbeek.
Voir également
    
    
Références
    
- Revue de Belgique, 4 janvier 1870, p. 76 online.
- Dictionnaire des femmes belges XIXe et XXe siècles, Bruxelles, Racine, 2006, p. 75.
Liens externes
    
- L'Éducation particulière, une histoire de Louise Bovie publiée à titre posthume, Revue de Belgique, avril 1870, pp. 260-287 lire en ligne.
- Informations bibliographiques sur Contes posthumes
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