Jean Burnat

Jean Burnat (Saint-Malo, 1918 - Nantes, 1977[1], est un écrivain et journaliste français[2].

Biographie

Son père était receveur des PTT[3]. Son frère est le romancier André Burnat. Il est l'oncle du journaliste Patrice Burnat.

En 1944, il publie à Genève son premier roman, un roman policier: Erreur de cadavre[3].

Sa femme Elisabeth, auteur de Idiote chérie, Sissi impératrice d'Autriche a co-écrit certains de ces livres[4].

Il fut le champion des jeux radiophoniques et télévisés: « Quitte ou double (émission)[5] » et « Réponse à tout » très suivis en France[4].

Il a écrit également dans le genre Littérature d'enfance et de jeunesse.

Vie privée

Il est marié à la romancière Elizabeth Burnat[6].

Publications

  • C'est Dupont, mon empereur ! (Mémoires inédits du grenadier Nicéphore Dupont)[7], Éditions Amiot-Dumont puis Éditions Marabout puis Le Livre de Poche, Librairie Générale Française, 1954 (1e édition)
  • Corsaire courageux, Collection J, O.D.E.J., 1960
  • Des élèves qu'on appelle sauvages, Labiche, Calmann-Lévy, 1953
  • Le dossier Napoléon, Université, Éditions Marabout, 1962
  • Le petit tambour d'Arcole, J, O.D.E.J., 1961
  • Le vengeur de Vercingétorix, J, O.D.E.J., 1962
  • Mes élèves et moi, Labiche, Calmann-Lévy, 1952
  • Mes fantômes et moi, Calmann-Lévy Poche, Calmann-Lévy, 1956
  • Monsieur Anodin, Labiche, Calmann-Lévy, 1954
  • C'est Du Pont, mon Eminence !
  • Niçaise Dupont, le cinquième mousquetaire
  • Cartouche mon copain
  • Les Carnetskis du colonel Popoff
  • Histoire des Romains
  • C'est D'Upont, mon Impératrice !
  • Trop belle Madame Tallieu, Robert Laffont
  • La Belle au Chouan, une aventure de Franc-Chemin, Editions de Paris, 1957.

Références

  1. Relevé des fichiers de l'Insee
  2. « Jean Burnat », sur Babelio.
  3. « D comme Dupont », sur librairiedalloz.fr.
  4. « Jean Burnat », sur bibliopoche.com.
  5. Deux millions gagnés au " Quitte ou double ", Le Monde, 19 juillet 1957
  6. « Elisabeth Burnat », sur Babelio.
  7. "C'EST DUPONT, MON EMPEREUR... ", Le Monde, 6 novembre 1954

Liens externes

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