Jean Boyer (homme politique, 1937)
Jean Boyer, né le [1] au Puy-en-Velay (Haute-Loire)[2], est un homme politique français membre du parti Les Centristes (LC).
| Jean Boyer | |
  
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| Fonctions | |
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| Sénateur français | |
|  –  (13 ans, 1 mois et 11 jours)  | 
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| Élection | 23 septembre 2001 | 
| Réélection | 25 septembre 2011 | 
| Circonscription | Haute-Loire | 
| Groupe politique | UCR (2011-2012) UDI-UC (2012-2014)  | 
| Maire de Blanzac | |
|  –  (24 ans, 2 mois et 28 jours)  | 
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| Successeur | Jean-Marc Boyer | 
| Conseiller général de la Haute-Loire | |
|  –  (35 ans, 11 mois et 24 jours)  | 
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| Circonscription | Canton de Saint-Paulien | 
| Prédécesseur | Joseph Berthold | 
| Successeur | Michel Joubert et Marie-Pierre Vincent | 
| Conseiller régional d'Auvergne | |
|  –  (11 ans, 11 mois et 27 jours)  | 
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| Biographie | |
| Date de naissance | |
| Lieu de naissance | Puy-en-Velay (Haute-Loire) | 
| Nationalité | Française | 
| Parti politique | UDF-CDS UDI-NC  | 
| Profession | Exploitant agricole | 
| Résidence | Blanzac | 
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|
| Sénateurs de la Haute-Loire | |
Biographie
    
Exploitant agricole[1] à Blanzac, près de Saint-Paulien (Haute-Loire), il débute dans les années 1970 une carrière d'élu local. Maire de Blanzac de 1971 à 1995[2], il devient en 1979 conseiller général (DVD) du canton de Saint-Paulien[2] puis, en 1985, vice-président du conseil général de la Haute-Loire[2], présidé alors par le centriste Jacques Barrot (UDF-CDS). Il a également été membre du conseil régional d'Auvergne de 1986 à 1998[3].
Parallèlement à ses activités politiques, il exerce diverses fonctions au sein des organisations professionnelles agricoles. Vice-président de la Mutualité sociale agricole (1983)[2], président du Conservatoire botanique national du Massif Central de Chavaniac-Lafayette (1996-2003)[2], il est nommé en 1996 membre du Conseil économique et social, dont il préside la section de l'agriculture et de l'alimentation jusqu'en 2001[2].
Candidat DVD aux élections sénatoriales de 2001, il défait le sortant Guy Vissac (RPR) et devient sénateur de la Haute-Loire[1]. Au Sénat, il se spécialise dans les questions agricoles et rejoint le groupe de l'Union centriste (UC)[1], dont il est élu vice-président[4]. En 2011, après avoir abandonné la vice-présidence du conseil général, il annonce son intention de briguer un nouveau mandat parlementaire[5]. Il est réélu sénateur et élu secrétaire du Sénat en .
Membre de la Nouvelle UDF dans les années 2000, il rejoint par la suite le Nouveau Centre, et participe en 2010 à la fondation de la fédération de Haute-Loire du parti centriste[6].
Jean Boyer est chevalier de la Légion d'honneur, officier de l'Ordre national du Mérite et commandeur du Mérite agricole[2].
Il annonce en son intention de quitter le Sénat au 1er octobre suivant afin de permettre l'élection de son suppléant, Olivier Cigolotti[7]. Il démissionne en fait le [8], ouvrant ainsi la voie à une élection sénatoriale partielle en Haute-Loire.
Notes et références
    
- Source : fiche sur le site du Sénat.
 - Source : notice Who's who.
 - Source : site de Jean Boyer.
 - Source : article du Progrès
 - Source : article de Zoom d'ici
 - Source : article de Zoom d'ici.
 - , Le Progrès, 10 janvier 2014
 - Journal officiel du 5 novembre 2014, texte n° 91
 
Voir aussi
    
    Articles connexes
    
Liens externes
    
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