Henri-Théophile Bouillon

Henri-Théophile Bouillon, né le 21 avril 1864 à Saint-Front (Charente) et mort le 1^er juillet 1933 à Arcachon[1], est un sculpteur et dessinateur français.

Biographie

En 1891, il présente deux bustes : l'un représentant son père (musée des Beaux-Arts de Bordeaux), et l'autre, le dessinateur Jules Baric.

L'année suivante, il présente le buste de Joseph Ignace Guillotin (Versailles, salle du Jeu de paume). En 1895, son Monument à Henry Murger est acquis par l'État et orne le jardin du Luxembourg à Paris.

En mai 1897, ses dessins sont exposés au Salon des Cent.

Il obtient une médaille de bronze à l'Exposition universelle de 1900[2].

Œuvres d'Henri-Théophile Bouillon
Joseph Ignace Guillotin (1892), Versailles, salle du Jeu de paume.
Monument à Henri Murger (1895), Paris, jardin du Luxembourg.
Le coupeur de lys (1896), sculpture située dans le jardin de l'hôtel de Basquiat à Bordeaux.
Salon de La Plume, exposition Henri Bouillon, mai 1897, affiche.

Table des successions et absences à Angoulême, vue 11/184.
Édouard-Joseph, Dictionnaire biographique des artistes contemporains, tome 1, « A-E », Art & Édition, 1930, p. 179.

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