Gustave Le Mallier
Gustave Louis Nicolas Le Mallier, né le à Carentan et mort en à Vevey[2], est un haut fonctionnaire et préfet français. Il fut notamment préfet du Gard lors du Massacre des Italiens (1893).
Parcours
    
- Préfet de l'Allier (1880-1882)[3]
- Préfet de la Dordogne (1882-1883)
- Préfet du Puy-de-Dôme (1883-1886)
- Préfet de Saône-et-Loire (1886-1888)
- Préfet d'Indre-et-Loire (1888-1890)[4]
- Préfet du Gard (1890-1895)[5]
Il est admis à la retraite en 1903 en qualité de consul général de France. Il réside alors à Paris.
Distinctions
    
    
Œuvre
    
- De la puissance paternelle, 1867[7]
Bibliographie
    
- René Bargeton, Dictionnaire biographique des préfets (septembre 1870-mai 1982), Paris, Archives nationales, , 555 p. (ISBN 2-86000-232-4, lire en ligne), notice « Le Mallier (Gustave Louis Nicolas) », pages 348-249.
Liens externes
    
- Ressources relatives à la vie publique :
Notes et références
    
- « http://www.siv.archives-nationales.culture.gouv.fr/siv/UD/FRAN_IR_001514/d_1191 »
- Nécrologie dans le Figaro du 5 février 1918
- « Liste des préfets de l'Allier », sur allier.gouv.fr, (consulté le )
- « Préfets du département d'Indre-et-Loire », sur indre-et-loire.gouv.fr, (consulté le )
- « Préfecture du Gard : Pour en savoir plus », sur gard.gouv.fr, (consulté le )
- « Recherche - Base de données Léonore », sur www.leonore.archives-nationales.culture.gouv.fr (consulté le )
- « Notice de Gustave le Mallier », sur www;idref.fr, (consulté le )
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