Fullmetal Alchemist: Conqueror of Shamballa

Fullmetal Alchemist: Conqueror of Shamballa (劇場版 鋼の錬金術師 シャンバラを征く者, Gekijyōban hagane no renkinjutsushi Shambara o yuku mono) est un film d'animation japonais de Seiji Mizushima, sorti en 2005. Il est la suite et fin de la première adaptation animée (2005) du manga Fullmetal Alchemist de Hiromu Arakawa.

Synopsis

Les frères Elric se trouvent dans deux mondes différents, séparés par « la porte » : Edward se trouve dans un monde où la technologie remplace l'alchimie (un monde censé être le nôtre, et présentant le putsch raté d'Hitler en 1923), alors qu'Alphonse se trouve toujours dans le monde où ils sont nés, régi par l'alchimie.

Ayant pu, grâce aux recherches effectuées par un groupe occulte proche du Führer appelé société de Thulé, entrer en contact, les deux frères vont tout faire pour se retrouver. Malheureusement, les pouvoirs de l'alchimie fascinent, et Edward n'est pas le seul à vouloir traverser « la porte »…

Cet épisode est très ancré dans l'entre-deux-guerres allemand et les références historiques évoquées sont nombreuses et souvent justes, avec la présence de différents personnages connus de cette époque. Ainsi Hitler, Rudolf Hess ou Fritz Lang jouent leur propre rôle, ainsi que Karl Haushofer, géopolitologue munichois dont les théories ont été récupérées par le nazisme, tandis que Dietrich Eckart, un des fondateurs du Parti ouvrier allemand, se retrouve en version féminine dans le personnage de Dietlinde Eckart.

Fiche technique

Notes et références

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

  • icône décorative Portail du cinéma japonais
  • icône décorative Portail des années 2000
  • icône décorative Portail de l'animation et de la bande dessinée asiatique
  • icône décorative Portail de la fantasy et du fantastique
  • icône décorative Portail de la science-fiction
Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons – Attribution – Partage à l’identique. Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.