Fort de Laniscourt
Le fort de Laniscourt, parfois appelé fort de Mons-en-Laonnois et brièvement fort Sérurier, est un fort du système Séré de Rivières, situé dans le département français de l'Aisne.
| Fort de Laniscourt | ||||
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| Description | ||||
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| Type d'ouvrage | ||||
| Dates de construction | de 1874 à 1885 | |||
| Ceinture fortifiée | ||||
| Utilisation | ||||
| Utilisation actuelle | ||||
| Propriété actuelle | ||||
| Garnison | ||||
| Armement de rempart | ||||
| Armement de flanquement | ||||
| Organe cuirassé | ||||
| Modernisation béton spécial | ||||
| Programme 1900 | ||||
| Dates de restructuration | ||||
| Tourelles | ||||
| Casemate de Bourges | ||||
| Observatoire | ||||
| Garnison | ||||
| Programme complémentaire 1908 | ||||
| Coordonnées | 49° 32′ 33″ nord, 3° 32′ 18″ est | |||
| Géolocalisation sur la carte : Aisne
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Géolocalisation sur la carte : France
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Histoire
Le fort a été érigé sur la commune de Mons-en-Laonnois, limitrophe de celle de Laniscourt, de 1874 à 1885, afin de contrer une éventuelle attaque des Allemands juste après la guerre franco-allemande de 1870. Il visait à contrer une invasion depuis la Belgique[1]. Le fort possédait un poste optique pour communiquer avec la place de Laon et 2 batteries annexes ; ses fossés étaient défendus par 2 caponnières doubles[2]. L'ensemble était armé avec 19 pièces d'artillerie et sa garnison pouvait s'élever à 280 hommes[3].
Durant les première et seconde guerres mondiales, les Allemands stockaient leurs victuailles dans le fort. Repris par les Français, il est devenu un entrepôt de munitions jusqu'en 1963[1].
En 1887, le nom du maréchal Jean Mathieu Sérurier lui est attribué.
C'est en 1998 que le fort est définitivement démilitarisé[1].
Références
- « Mons en Laonnois - Village de l'Aisne », sur mons-en-laonnois.fr via Internet Archive (consulté le ).
- « Fort de Laniscourt - fortification Laon Grande Guerre », sur web.archive.org, (consulté le )
- « Le fort de Laniscourt - Mémoire et fortifications - Fortifications, sites et lieux de Mémoire. », sur www.memoire-et-fortifications.fr (consulté le )
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