Engyodontium

Ces champignons forment des colonies blanches en forme de toile d'araignée. Les conidiophores sont hyalins, à parois minces, rampants à sub-dressés ; les ramifications sont subverticales à verticales. Les cellules conidiogènes sont subulées à cylindriques, polyblastiques, formant des conidies holoblastiques sur des denticules en forme de crosse ou de cheveu sur des rhéochides allongés. Les conidies sont hyalines, petites, unicellulaires[1].

Le nom correct complet (avec auteur) de ce taxon est Engyodontium de Hoog[2], publié en 1978 par le mycologue néerlandais Gerrit Sybren de Hoog (d). Engyodontium parvisporum (Petch) de Hoog est l'espèce type, initialement classée dans le genre Rhinotrichum[1].

Selon MycoBank (9 février 2024)[2] :

• Engyodontium album (Limber) de Hoog, 1978
• Engyodontium arachnophilum H.C. Evans & Samson, 1984
• Engyodontium aranearum (Cavara) W. Gams, de Hoog, Samson & H.C. Evans, 1984
• Engyodontium geniculatum H.C. Evans & Samson, 1984
• Engyodontium parvisporum (Petch) de Hoog, 1978
• Engyodontium rectidentatum (Matsush.) W. Gams, de Hoog, Samson & H.C. Evans, 1984

• (en) G.S. de Hoog, « Notes on some fungicolous hyphomycetes and their relatives », Persoonia, vol. 10,‎ 1978, p. 33-81 (ISSN 0031-5850, lire en ligne [PDF])

• (en) Référence Catalogue of Life : Engyodontium (consulté le 9 février 2024)
• (en) Référence Index Fungorum : Engyodontium de Hoog (consulté le 9 février 2024)
• (fr + en) Référence GBIF : Engyodontium de Hoog (consulté le 9 février 2024)
• (en) Référence IRMNG : Engyodontium G.S. de Hoog, 1978 (consulté le 9 février 2024)
• (en) Référence MycoBank : Engyodontium de Hoog (consulté le 9 février 2024)
• (en) Référence NCBI : Engyodontium (taxons inclus) (consulté le 9 février 2024)
• (en) Référence WoRMS : Engyodontium de Hoog, 1978 (+ liste espèces) (consulté le 9 février 2024)

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