El-Hadi Mostefaï
El-Hadi Mostefaï, né le à Zemmora et mort le à Alger, est un homme politique français puis algérien. Il fut notamment sénateur de Constantine de 1946 à 1947 puis de 1948 à 1958[1]. Jean Vaujour le présente comme « porte-parole de l'Union démocratique du manifeste algérien et l'homme de confiance de Ferhat Abbas »[2]. Il est premier président de la Cour d'appel d'Alger en 1963 puis procureur général de la cour suprême en 1964[3].
| El-Hadi Mostefaï | |
| Fonctions | |
|---|---|
| Député français | |
| – (5 mois et 16 jours) |
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| Élection | 2 juin 1946 |
| Circonscription | Constantine |
| Législature | IIe Constituante |
| Groupe politique | UDMA |
| Sénateur français | |
| – (10 ans) |
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| Circonscription | Constantine |
| – (1 an) |
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| Circonscription | Constantine |
| Biographie | |
| Date de naissance | |
| Lieu de naissance | Zemmora |
| Date de décès | (à 85 ans) |
| Lieu de décès | Alger |
Références
- « Anciens sénateurs IVe République : MOSTEFAI El-Hadi », sur www.senat.fr (consulté le )
- Jeab Vaujour, De la révolte à la révoution, éditions A. Michel, p. 286.
- « M. MOSTEFAI EL HADI est nommé premier président de la cour d'appel d'Alger », sur lemonde.fr,
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