Der Gott, der Eisen wachsen liess
Der Gott, der Eisen wachsen ließ est un poème patriotique du poète allemand Ernst Moritz Arndt. Il était écrit juste avant les guerres de 1813 à 1815, pendant lesquelles l’Allemagne se libérait du règne de Napoléon.
Le poème reflète la haine contre Napoléon et le sentiment anti-français[réf. nécessaire] du poète, bien qu’il ne nomme pas de noms ou dates historiques d'actualité. Avec une mélodie composée plus tard, ce poème est devenu un des chants les plus importants du mouvement nationaliste allemand.
Le début célèbre de ce poème a été inspiré, d'après Abel Bourgery, par le vers de Lucain (Pharsale, IV, 579) : « ignorantque datos ne quisquam seruiat enses »[1].
Texte et traduction
| allemand(de) | français |
|---|---|
Der Gott, der Eisen wachsen ließ, |
Le Dieu qui faisait croître le fer |
Références
- (la) Lucain (trad. du latin par Abel Bourgery), La Guerre civile, Paris, Société d'édition Les Belles Lettres, Collection des universités de France, (ISBN 978-2-251-01104-2), pp. 121-122.
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