Convention de Nouméa
La Convention pour la protection des ressources naturelles et de l'environnement dans la région du Pacifique sud (Convention de Nouméa, ou Convention SPREP) a été signée à Nouméa (Nouvelle-Calédonie) le ; elle est entrée en vigueur le .
Objectif de la Convention
    
Dans la zone géographique qu'elle couvre, qui comprend notamment toutes les zones maritimes sous la juridiction des États parties à la Convention, elle a pour but de prévenir, réduire et contrôler la pollution quelle qu'en soit la source, et d'assurer une gestion respectueuse de l'environnement et une exploitation raisonnée des ressources naturelles[1].
États partis à la convention
    
 Australie Australie
 États fédérés de Micronésie États fédérés de Micronésie
 États-Unis États-Unis
 Fidji Fidji
 France (au titre de la Nouvelle-Calédonie, de la Polynésie française et de Wallis-et-Futuna) France (au titre de la Nouvelle-Calédonie, de la Polynésie française et de Wallis-et-Futuna)
 Kiribati Kiribati
 Îles Marshall (Marshall Islands) Îles Marshall (Marshall Islands)
 Îles Cook (Cook Islands) Îles Cook (Cook Islands)
 Nauru Nauru
 Nouvelle-Zélande Nouvelle-Zélande
 Niue Niue
 Palaos Palaos
 Papouasie-Nouvelle-Guinée Papouasie-Nouvelle-Guinée
.svg.png.webp) Royaume-Uni (au titre des Iles Pitcairn) Royaume-Uni (au titre des Iles Pitcairn)
 Samoa Samoa
 Îles Salomon (Solomon Islands) Îles Salomon (Solomon Islands)
 Tonga Tonga
 Tuvalu Tuvalu
 Vanuatu Vanuatu
Liens externes
    
    
Notes et références
    
- « Conventions de Nouméa et d'Apia pour le Pacifique Sud », sur milieumarinfrance.fr, .
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