Chefika Gasprinskyi

Chefika Gasprinskyi (-[1]) est une journaliste, éditrice, femme politique et éducatrice tatare de Crimée.

Biographie

En 1917 au Hansaray, Congrès national des peuples tatars de Crimée, avec Noman Çelebicihan, Asan Sabri Ayvazov, Cafer Seydahmet Kırımer, Osman Aktchokrakli, Seitcelil Hattat.

En 1917, elle est députée de la république populaire de Crimée, qu'elle doit fuir en 1919 avec ses enfants pour l'Azerbaïdjan, dont son mari Nassib Youssifbeyli est premier ministre. En 1920, elle fuit de nouveau, devant l'invasion soviétique, et gagne la Turquie.

Travail

En plus de la collaboration avec Terciman, le journal de son père, elle s'implique en tant qu'éditrice dans Alem-i Nisvan, magazine tourné vers le féminisme.

Famille

Avec ses enfants Zöhrə et Niyazi.

Elle est issue d'une famille princière tatare, les Akchurinas, par sa mère ; son père est Ismail Gasprinski, penseur de la culture tatare, son frère Ryfat Gasprinskyi est aussi journaliste.

Elle repose au cimetière de Zincirlikuyu à Istanbul.

Références

  1. (tr) « Büyük bir kayıp (Şefika Gaspıralı) », sur emelvakfi.org (consulté le ).

Liens externes

  • icône décorative Portail de l’Ukraine
  • icône décorative Portail du journalisme
  • icône décorative Portail de l’Empire russe
  • icône décorative Portail de la Turquie
  • icône décorative Portail des femmes et du féminisme
  • icône décorative Portail de l’Azerbaïdjan
Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons – Attribution – Partage à l’identique. Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.