Arié Mandelbaum
Biographie
Arié Mandelbaum a étudié à l’Académie royale des beaux-arts de Bruxelles.
De 1966 à 2004, il a enseigné à l’école des arts plastiques et visuels d’Uccle. En 1979, il en devient le directeur[2].
Depuis 2003, il est également acteur, entre autres dans les spectacles de Claude Schmitz.
Il est le père du peintre Stéphane Mandelbaum, décédé en 1986.
En 2022, le Musée Juif de Belgique lui consacre une importante rétrospective[3].
Bibliographie
- Bernard Noël, Arie Mandelbaum, préf. de Jacques Sojcher, postf. de Roger Lallemand, Bruxelles, Didier Devillez, 1991.
- Serge Meurant, Visites à l'atelier du peintre Arié Mandelbaum, avec des photographies de Philippe Vindal, Élie Gross, Marc Trivier et Bérengère Gimenez, Noville-sur-Mehaigne, L’Esperluète, 2016 (ISBN 9782359840728), 96 p. (compte rendu en ligne).
- Gérard Preszow, Arié Mandelbaum, conversation avec Gérard Preszow, Editions Tandem, 2022.
Expositions
- Hugo Godderis Galerij (Furnes), 2006.
- Le temps d'aimer est aussi le temps de l'histoire, Musée juif de Bruxelles, 2012.
- Cendres et vie, Le Vivy (Herbeumont), 2014.
- Variations Kafka, techniques mixtes sur papier, galerie Didier Devillez (Bruxelles), 2014.
- Esperluète (Noville-sur-Mehaigne), 2017.
- site de Montauban-Buzenol (Buzenol), 2019[4].
- Galerie Philippe Guimiot
- L’Usine (Bruxelles)
- Maison de la culture (Namur)
- Musée des beaux-arts (Mons)
- Romy Goldmund Centrum (Anvers)
- Centre d’art contemporain du Sud Luxembourg
- Open Studio (New York)
- Honfleur Gallery (Washington)
- Galerie Concha de Nazelle (Toulouse)
- Librairie Ombres blanches
Travaux
- 24 mai 1968, 1968, gouache ? sur carton, Université libre de Bruxelles - Archives, patrimoine, réserve précieuse
- Enfants et fleurs, 2012, 180 x 150 cm, tempera et technique mixte sur papier marouflé sur toile.
- Raymonde, 2008, 180 x 200 cm, techniques mixtes.
- Jacques Sojcher, La confusion des visages, dessins d'Arié Mandelbaum, La Différence, 1998 (rééd. Fata morgana, 2019)[5].
Récompenses
- Lauréat de la Fondation belge de la vocation en 1965[6].
Films documentaires
- Michel Coupez, Arié Mandelbaum, passé-actuel, 1976.
- Boris Lehman, Portrait du peintre dans son atelier, Bruxelles, Dovfilm, 1985.
- Boris Lehman, Un peintre sous surveillance, Bruxelles, Dovfilm, 2008.
Références
- Site officiel
- Danièle Gillemon, Mandelbaum, la beauté inquiète, Le Soir/MAD, 4 février 2009, p. 48.
- L'espace mémoriel d'une existence, La Libre Belgique, 2 mai 2012, p. 9.
- (nl) Joodse onderonsjes, Trends, 26 avril 2012, p. 114.
Notes
- Notice de la BnF
- « MANDELBAUM, Arié », sur ledelarge.fr (consulté le ).
- « Arié Mandelbaum », sur Musée Juif de Belgique (consulté le )
- Le Vif/L'Express/Weekend, 16 mai 2019, p. 16.
- Nicolas Crousse, Le beau, le doux retour des poètes, Le Soir, 25 mai 2019, p. 31.
- « Dictionnaire des Peintres belges : 3724 MANDELBAUM, Arié », sur kikirpa.be (consulté le ).
Liens externes
- Ressources relatives aux beaux-arts :
- Ressources relatives au spectacle :
- Portail de la peinture
- Portail de la Belgique
- Portail de la culture juive et du judaïsme
Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons – Attribution – Partage à l’identique. Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.