André-Auguste Tandon

André-Auguste Tandon est né à Montpellier le 15 juillet 1759 et décédé dans la même ville le 25 novembre 1824. Banquier de profession, il était aussi un poète languedocien.

Biographie

Ses parents étaient Barthélémy Tandon, banquier et Jeanne Maurin[1].

Appelé « Le dernier troubadour »[2], il est le grand-père maternel d'Alfred Moquin-Tandon[3].

Ses Fables et Contes en vers patois[4] le font considérer comme un des précurseurs du Félibrige[5].

Notes et références

Acte de naissance. Archives départementales de l'Hérault. Montpellier. Paroisse Notre-Dame des Tables. Folio 1759-1764.
Alfred Moquin-Tandon, Recueil de l’académie des Jeux Floraux, Toulouse, 1842, 370 p. (lire en ligne), p. 217.
« Lettres inédites de Moquin-Tandon' »
(oc) André-Auguste Tandon, Fables, contes et autres pieces, en vers, patois de Montpellier, Renaud, 1813, 2^e éd., 200 p. (lire en ligne).
Larousse du XX^e siècle, t. 6, Paris, Librairie Larousse, 1933, 1146 p., p. 586.

Voir aussi

Articles connexes

Liste de poètes de langue occitane

Liens externes

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[1] Acte de naissance. Archives départementales de l'Hérault. Montpellier. Paroisse Notre-Dame des Tables. Folio 1759-1764.

[2] Alfred Moquin-Tandon, Recueil de l’académie des Jeux Floraux, Toulouse, 1842, 370 p. (lire en ligne), p. 217.

[3] « Lettres inédites de Moquin-Tandon' »

[4] (oc) André-Auguste Tandon, Fables, contes et autres pieces, en vers, patois de Montpellier, Renaud, 1813, 2^e éd., 200 p. (lire en ligne).

[5] Larousse du XX^e siècle, t. 6, Paris, Librairie Larousse, 1933, 1146 p., p. 586.