Agnès Helmstetter
Agnès Helmstetter, née le , est une chercheure française en géophysique.
En 2011, elle reçoit la Médaille de bronze du CNRS.
Biographie
Agnès Helmstetter passe un DEA puis une thèse en géophysique suivie d’une recherche postdoctorale aux États-Unis[1]. En 2005, elle devient chargée de recherche CNRS à l'Institut des sciences de la Terre de Grenoble[2].
Carrière scientifique
Agnès Helmstetter étudie les mécanismes de déclenchement des séismes et leurs aléas. Elle travaille notamment sur[2] :
- les glissements de terrain (surveillance sismique de plusieurs sites : Séchilienne, la Clapière et Super-Sauze) ;
- les glaciers (surveillance sismique) ;
- la sismicité induite (surveillance sismique d'une carrière de ciment qui s’est en partie effondrée en 2011 à Saint-Martin-le-Vinoux) ;
- les déformations asismiques ;
- la rupture sismique.
Récompenses et distinctions
Notes et références
- « CNRS Médaille de bronze 2011 », sur cnrs.fr.
- Institut des sciences de la Terre, « Fiche d'Agnès Helmstetter », sur isterre.fr (consulté le ).
- CNRS, « Médailles de bronze - Les lauréats 2011 », sur cnrs.fr, (consulté le ).
Liens externes
- Ressource relative à la recherche :
- Portail de la géodésie et de la géophysique
- Portail des universités françaises
Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons – Attribution – Partage à l’identique. Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.