1680 en littérature
Cet article présente les faits marquants de l'année 1680 en littérature.
| Années de la littérature : 1677 - 1678 - 1679 - 1680 - 1681 - 1682 - 1683 | |
| Décennies de la littérature : 1650 - 1660 - 1670 - 1680 - 1690 - 1700 - 1710 |
Événements
- Fondation de la Comédie-Française
Parutions
Essais
- Nicolas Malebranche : Traité de la nature et de la grâce.
- Pierre Richelet : Dictionnaire français.
- Madeleine de Scudéry : Morale du monde ou Conversations (10 vol., 1680-1682).
- Jacob Spon (médecin) : Histoire de Genève, Lyon. Très favorable à la cause des Genevois, elle irrite le duc de Savoie et inquiète les autorités genevoises.
- Louise de La Vallière : Réflexions sur la miséricorde de Dieu.
- Robert Filmer : Patriarcha ou du pouvoir naturel des rois[1].
Théâtre
- 21 octobre : La Comédie-Française est fondée à Paris par fusion des troupes de Molière et de l’Hôtel de Bourgogne.
Décès
- 17 mars : François VI, duc de la Rochefoucauld, écrivain, moraliste et mémorialiste français (né en 1613)
- 26 juillet : John Wilmot, écrivain et libertin anglais (né en 1647).
Notes et références
- Geffroy, Annie, « Robert Filmer, Patriarcha ou du pouvoir naturel des rois », Mots. Les langages du politique, Persée, vol. 34, no 1, , p. 121–123 (lire en ligne, consulté le ).
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